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Étiquette : récital

Théâtre au Jardin

le 17 août, 19h

Il est encore temps de réserver !

Après La Peuplée, repas partagé avec l’artiste !

Nous vous attendons au mont d’or !

Pauline Weidmann, photo de Stépahne Ribrault
La peuplée écrit en lettre cursive

La Peuplée, de et avec Pauline Weidmann
 

Il y a un tas de paille et une chaise
c’est très simple, au milieu du lieu, dans l’endroit des passages du travail, là ou les gestes s’ignorent.
La Peuplée se met dans un lieu qui sonne, pour inviter à regarder. Ce qui fait l’ordinaire du lieu.

De ses recherches sur les solitudes contemporaines, elle vient mettre ses bottes et regarder ce que deviennent les agricultures. Ça lui revient en bribes de souvenir entre le lieu ou elle a grandi et ces paysans rencontrés. Ça fait des chants, Son métier de maintenant. C’est simple et vocal.

Elle raconte avec patience et recul qu’elle traîne un peu dans la boue et que parfois elle s’incivile tout en étant tout à fait chic ici.
C’est un récital.

Réserver le théâtre du 17 août
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Théâtre au Jardin

le 17 août 2022, 19h

La Peuplée, de et avec Pauline Weidmann
 

Il y a un tas de paille et une chaise
c’est très simple, au milieu du lieu, dans l’endroit des passages du travail, là ou les gestes s’ignorent.
La Peuplée se met dans un lieu qui sonne, pour inviter à regarder. Ce qui fait l’ordinaire du lieu.

De ses recherches sur les solitudes contemporaines, elle vient mettre ses bottes et regarder ce que deviennent les agricultures. Ça lui revient en bribes de souvenir entre le lieu ou elle a grandi et ces paysans rencontrés. Ça fait des chants, Son métier de maintenant. C’est simple et vocal.

Elle raconte avec patience et recul qu’elle traîne un peu dans la boue et que parfois elle s’incivile tout en étant tout à fait chic ici.
C’est un récital.

Nous vous attendons au mont d’or !

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Théâtre au Jardin

le 17 août 2022, 19h

La Peuplée, de et avec Pauline Weidmann
 

Il y a un tas de paille et une chaise
c’est très simple, au milieu du lieu, dans l’endroit des passages du travail, là ou les gestes s’ignorent.
La Peuplée se met dans un lieu qui sonne, pour inviter à regarder. Ce qui fait l’ordinaire du lieu.

De ses recherches sur les solitudes contemporaines, elle vient mettre ses bottes et regarder ce que deviennent les agricultures. Ça lui revient en bribes de souvenir entre le lieu ou elle a grandi et ces paysans rencontrés. Ça fait des chants, Son métier de maintenant. C’est simple et vocal.

Elle raconte avec patience et recul qu’elle traîne un peu dans la boue et que parfois elle s’incivile tout en étant tout à fait chic ici.
C’est un récital.

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